Electronique Mag - Le journal de l'électronique.
- accueil .
- abonnement .
- newsletter .
Flux RSS . - soumissions .
- publicité .
- contacts
Flux RSS . Suite aux récentes affaires relatées par la presse britannique sur le vol de données sensibles de patients, le NHS a sélectionné la technologie de l’ADN du Numérique de la société française Mobilegov pour améliorer sa sécurité informatique.
L’amélioration porte sur trois points :
1. protéger les ordinateurs des établissements dont NHS est responsable (Hôpitaux, etc.) contre les
branchements d’équipements amovibles provenant de l’extérieur et éviter ainsi les vols de données sensibles
sur des équipements de type clés USB, disques durs externes et autres dispositifs de stockage de données,
2. imposer dans ses établissements l’utilisation exclusive de clés USB inutilisables en dehors de l’établissement et
réduire ainsi le risque lié à la perte de ces dispositifs,
3. mettre en place l’authentification forte pour mieux contrôler l’accès par internet des employées et des médecins
au réseau NHS sur lequel transitent des données sensibles.
« Ce contrat était en cours de négociation depuis plusieurs mois. Il est le fruit du travail des équipes de Mobilegov et de son partenaire britannique sur ce projet : la société Torotech. », commente la Direction.
Le NHS emploie plus de 1,5 millions de personnes, dont 90 000 médecins hospitaliers, 35 000 médecins généralistes, 400 000 infirmières et 16 000 ambulanciers. Le NHS est le premier employeur du Royaume-Uni. Ce contrat représente un démonstrateur complet de la technologie Mobilegov puisque l’ensemble de sa gamme de produits est mise en oeuvre (Device Authenticator, Device Linker et SAWS). La mise en place s’échelonnera sur l’année 2008 et l’année 2009.
Pour des raisons de confidentialité, les détails technologiques des mécanismes de protections internes au NHS ainsi que le montant du contrat ne seront pas communiqués. « Ce contrat, significatif en termes de chiffre d’affaire, permet à Mobilegov de développer sa notoriété et de devenir une référence en matière de sécurité et de protection des données sensibles des structures de santé en Europe » commente Michel Frenkiel le Président.
