Réduction de la pollution, raréfaction des énergies fossiles, catastrophes naturelles... ou alimentation autonome en électricité des populations locales, assistance médicale, pompage d’eau, éducation, télecommunication...
Noetec répond à tous ces besoins avec son nouveau Générateur Electrique Solaire : • Autonome : en transformant l’énergie solaire en énergie électrique (220 et 110 volts altenatif ou 12 volts continu) sans recourir à aucun autre carburant.
• Immédiatement opérationnel : il suffit de moins de 5 minutes pour l’installer et l’utiliser, sans aucun outillage, sans connaissance particulière.
• Mobile et compact : sa structure en aluminium permet de le transporter facilement par tous les moyens dont l’hélitreuillage.
• Souple d’utilisation : l’énergie est consommée selon les besoins, immédiatement ou en différé, grâce à ses batteries.
• Puissant : il alimente à la fois lampes, réfrigérateur/congélateur, ordinateur, téléphone portable ou pompes à eaux. On adapte l’autonomie en connectant entre eux plusieurs générateurs.
• Ecologique : il ne génère aucune pollution chimique, aucun bruit. En fin de vie, il est recyclable.
• Fiable et durable : chaque générateur peut fonctionner de 10 à 15 ans. Les situations, besoins et activités les plus concernés :
• Les ONG et associations humanitaires, pour alimenter en électricité les dispensaires, hôpitaux de campagnes (éclairage, alimentation des réfrigérateurs pour la conservation de vaccins, alimentation en électricité de pompes à eau…).
• Les populations locales, pour alimenter une habitation ou pallier à des ruptures d’alimentation électrique par le réseau habituel.
• Les services de secours, grâce à l’hélitreuillage sur zones à la suite de catastrophes naturelles…
• Les agriculteurs, pour l’irrigation…
• Les entreprises industrielles, en tant que relais électriques de type onduleurs.
• Les opérateurs téléphoniques, pour alimenter leurs antennes relais en zones isolées... Noetec, jeune entreprise d’Angoulême (Poitou-Charentes), exporte déjà son générateur, moins d’un an après son brevet, notamment en Afrique et en Asie.