Cette étude révèle l’adoption massive de l’IA et son impact positif sur la productivité. Dirigeants et employés interrogés ont des opinions légèrement différentes, bien que les deux acceptent que cette technologie fasse partie de leur avenir.
Selon l’enquête Zoom, seuls 6 % des dirigeants interrogés ont déclaré que leur organisation n’utilisait pas l’IA générative. Parmi les 94 % restants, la technologie est le plus souvent utilisée pour les chatbots (56 %), la génération de contenu (49 %) et l’aide à la conception (46 %).
84 % des dirigeants affirment également que l’intégration de l’IA a eu un impact positif sur la productivité. Pour 40 %, la productivité a fortement augmenté et pour 44 %, elle a légèrement progressé. 9 % n’ont pas constaté de changement particulier, tandis que la productivité a légèrement baissé pour 5 % et fortement pour 2 %.
À la question ouverte « Quel sera, selon vous, le prochain changement immédiat de votre modèle de lieu de travail ? », l’intégration de l’IA est une réponse très fréquente des dirigeants. Il peut s’agir d’outils d’IA pour diverses tâches, de l’automatisation ou de processus décisionnels pilotés par l’IA.
Les employés sont légèrement moins optimistes, mais acceptent généralement que cette technologie fait partie de l’avenir. 64 % d’entre eux sont d’accord pour dire que l’IA générative facilite leur travail, dont 25 % sont tout à fait d’accord.
Cependant, de nombreux salariés craignent que l’IA générative ait un impact négatif sur leur emploi/poste. Cette tendance est fortement influencée par l’âge : alors que 72 % des 18-24 ans sont de cet avis, le pourcentage diminue au fur et à mesure que l’on avance dans l’âge, avec 42 % pour les 55 ans et plus.
D’après l’étude Zoom, la majorité des employés sondés (75 %) reconnaissent qu’il existe des failles dans les environnements de travail numériques actuels et que les outils et la technologie actuels de leur organisation pour le travail à distance doivent être améliorés. La plupart (72 %) reconnaissent même que leur organisation a besoin de nouveaux outils ou de nouvelles technologies pour soutenir le travail à distance.