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Une mission complexe, certes, mais reposant sur des procédés de haut niveau et dont la réussite provient d’une méthodologie d’ingénierie de mission numérique (DME – Digital Mission engineering) qui utilise des technologies de pointe. Parmi lesquelles la simulation numérique multiphysique qui joue un rôle, de plus en plus crucial, dans la conception et la modélisation des missions aérospatiales.

Ansys, leader de la simulation numérique, a accompagné la NASA à préparer cette mission, grâce, notamment à la mise à disposition de son logiciel de simulation électromagnétique 3D Ansys HFSS et de Ansys Systems Tool Kit (STK). Des solutions qui permettent aux équipes d’assurer une communication fluide entre la fusée et les stations de la NASA.

Cette intégration constitue une preuve de plus que la simulation numérique reste un atout de taille, toutes industries confondues, et la contribution pour l’industrie spatiale n’a pas dit son dernier mot.

Pour tous vos articles/ sujets sur le lancement de la fusée Artémis et la place qu’occupe la simulation numérique dans la mise en œuvre de ce projet, Jim Woodburn, Chief Orbital Scientist chez AGI, filière d’Ansys, se tient à votre disposition pour répondre à toutes vos questions, notamment :

 Artémis : la technologie permet-elle vraiment d’imaginer une vie sur la lune ?

 Quelle est l’ambition du projet et comment la NASA a-t-elle pu le modéliser et le concevoir ?

 Qu’est-ce que la simulation numérique et à quelle fin est-elle utilisée ?

 Comment les équipes de NASA se sont-elles servies de la simulation numérique ? quels logiciels ?

 Le lancement de la fusée Artémis aurait-il été possible sans cette technologie ?

 Quelle réelle avancée apporte la simulation numérique à l’industrie l’aérospatiale ? quid des autres industries ?

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