Zoom Video Communications présente les résultats d’une étude destinée à évaluer quels sont les usages virtuels nés de la crise du Covid-19 qui seront amenés à se perpétuer après la pandémie. L’étude internationale sur l’Importance du virtuel dans le monde du futur commanditée par Zoom montre que les Français sont moins enclins que les autres pays étudiés à laisser le virtuel s’installer dans différents aspects de leur vie une fois la pandémie terminée.
Alors que 79 % des personnes interrogées à travers le monde estiment que le virtuel continuera de jouer un rôle dans l’ensemble de leurs activités, seulement 49 % des Français sont d’accord pour dire que leur quotidien continuera d’avoir une composante virtuelle après la pandémie.
Sur la question du travail 41 % des français estiment qu’ils repasseront à un mode uniquement présentiel, contre 25 % aux États-Unis et en Allemagne, ou 27 % au Royaume-Uni. Seuls 52 % des répondants français estiment que les interactions professionnelles continueront de se faire aussi bien en virtuelle qu’en présentielle, contre plus des deux tiers au niveau mondial. Ils évoquent notamment que ce mode de travail apporte une meilleure balance entre vie professionnelle et vie privée.
Les rendez-vous liés au business ont été définis comme des réunions internes/clients, des réunions avec les investisseurs, des réunions du conseil d’administration, des embauches et du mentorat.
« La France est un pays latin qui attache beaucoup d’importance aux relations humaines. Il n’est donc pas surprenant que les Français donnent une part importante aux rencontres physiques, » commente Charlotte Nizieux, porte-parole de Zoom en France. « Au delà de la vidéo, Zoom propose une offre de communication complète qui s’adapte aux besoins de ses utilisateurs. Avec Zoom phone, Zoom chat et nos autres innovations, nous sommes là pour rendre le travail et les interactions plus flexibles et permettre aux équipes de rester productives où qu’elles se trouvent. »
Pour le secteur de l’éducation, les résultats sont plus rapprochés. 53 % des Français interrogés estiment que l’enseignement repassera sur un mode entièrement présentiel contre une moyenne globale à 38 %. Ainsi 40 % se disent favorables à un mode hybride contre 50 % aux États-Unis, 54 % en Allemagne et 44 % au Royaume-Uni.
Les personnes interrogées en France sont toutefois alignées avec les autres pays quant aux avantages qu’a pu apporter la visioconférence. Ils sont 87 % à penser qu’elle permet d’éviter l’isolement et 73 % à considérer qu’elle donne à tout le monde l’opportunité de participer et d’être impliqué dans toutes sortes d’évènements.