Créée en 2002 sous l’impulsion des deux laboratoires de recherche de l’INRIA Rennes et de l’UVSQ (Université de Versailles), la jeune pousse bretonne travaille depuis 7 ans sur le développement d’outils qui facilitent la programmation multicœur. Son compilateur hybride HMPP™ est maintenant utilisé depuis plus de deux ans par de grands acteurs européens du calcul haute performance (CEA, GENCI…) et a atteint un niveau de maturité tel qu’il est dorénavant une référence dans son domaine. Forte de son succès en Europe auprès de grands comptes dans les domaines de l’énergie, du pétrole, de la défense et de la recherche, CAPS a entamé en 2009 son déploiement international en initiant de nouveaux partenariats avec des acteurs américains et asiatiques du calcul haute performance.
Après avoir terminé son exercice sur un chiffre d’affaire quasiment triplé, CAPS démarre 2010 avec une ouverture forte à l’international : une première référence aux Etats-Unis avec le Laboratoire National d’Oak Ridge (ORNL) en janvier dernier et l’amorçage d’un réseau de revendeurs spécialistes du supercalcul au Japon et à Taïwan.
Avec l’ouverture d’un bureau à Shanghai, CAPS renforce sa présence sur la zone APAC où l’on constate un intérêt grandissant pour les solutions de programmation manycore. De nombreuses organisations - centres de calcul intensif, universités, organismes de recherche et sociétés industrielles asiatiques évaluent aujourd’hui HMPP.
« Ce nouveau bureau à Shanghai réaffirme l’engagement de CAPS sur le marché asiatique », déclare Benoît Raoult, VP et Directeur Général de CAPS APAC, « Nous sommes fiers de pouvoir apporter à nos clients de la zone APAC, le même niveau de service qu’en Europe. C’est dans un but de partage de notre expérience du GPU computing que nous nous installons en Chine. »
Cette nouvelle présence locale en Asie permettra à CAPS d’assurer un niveau d’expertise optimal auprès de ses clients et de renforcer ses liens avec son réseau de partenaires sur ce territoire.