Membre du Groupement des industries françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres (GICAT), Ametra est depuis 45 ans le partenaire historique des grands donneurs d’ordre de la filière à travers le développement et l’intégration de systèmes mécaniques, électriques et électroniques. Avec 750 collaborateurs, un chiffre d’affaires dépassant les 55 millions d’euros par an et un développement à l’international ces dernières années, l’ETI est une success story française et un acteur incontournable de la filière Défense.
Sur le stand d’Ametra, je vous propose une interview avec Anne-Charlotte Fredenucci sur :
La mise en place du plan nouveau plan de développement d’Ametra Engineering, filière du groupe dédié à la conception et l’innovation, baptisé « Ignition ». Ce plan stratégique à horizon 3 ans a pour objectif de doubler l’activité d’Ametra Engineering pour attendre 80 M€, via la mise en place de nouveaux partenariats avec les acteurs du marché mais aussi les écoles d’ingénieurs, le renforcement de compétences en interne ou encore le rééquilibrage des métiers d’Ametra.
Premier témoignage de ce plan, le nouveau partenariat d’Ametra avec l’ECE, école d’ingénieurs multiprogrammes spécialisée dans l’ingénierie numérique, concernant la lancement à la rentrée 2024 de la Majeure Défense et Technologie. La filière aura pour mission de mieux appréhender les nouveaux apports des nouvelles technologies dans le monde de la Défense, comme l’IA générative.
L’évolution de l’activité du groupe en lien avec les conflits actuels ainsi que les derniers projets autour de la conception mécanique des Caesar et la conception et fabrication d’équipements critiques sur les commandes de vol et cœur électrique du Rafale.
Anne-Charlotte Fredenucci, Présidente du groupe Ametra : « Lors du dernier Eurosatory il y a deux ans, le Président Emmanuel Macron évoquait la mise en place d’une économie de guerre. En effet, le retour de conflits à grande intensité aux portes de l’Union Européenne nous oblige à penser autrement notre filière Défense. Cette notion d’économie de guerre pose un certain nombre de défis à la Supply Chain, notamment en termes de recrutement et d’innovations, que nous sommes en train de relever aux côtés de nos clients tels que MBDA, KNDS France ou Thalès. »