Genes’Ink, basée à Rousset (13), présentera l’intégralité de ses applications au niveau mondial lors du CES 2017. Genes’Ink fait partie des 500 start-up mondiales sélectionnées par la Consumer Technology Association pour exposer dans l’Eureka Park du CES, stand n°51 658 (Sands Exposition, Hall G).
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Le cœur de métier de Genes’Ink est la conception et la production de solutions imprimables pour les secteurs de l’électronique embarquée (IoT), des énergies renouvelables (photovoltaïque et OPV) et de l’OLED. Nos solutions amènent un avantage compétitif aux industriels qui recherchent des produits à la fois discret, flexibles, et performants. À titre d’exemple nos produits permettent un gain de performance de 20 % par cellule OPV et une brillance multipliée par dix pour l’OLED.
Genes’Ink est la première société à avoir permis l’impression de circuits flexibles, incassables, légers et transparents. 10 brevets internationaux protègent ses procédés uniques au monde et dont les applications concernent la totalité des objets connectés, notamment les accessoires « wearables » (bracelets, colliers, patches, vêtements et accessoires…) dont la discrétion est une condition de succès et d’acceptabilité par les utilisateurs.
Genes’Ink a développé des solutions pour l’électronique imprimée adaptées à l’impression additive, tout en bannissant l’utilisation de produits dangereux pour la santé. Les procédés de fabrication additive permettent de réduire drastiquement les quantités de matière utilisée contrairement aux procédés de fabrication soustractive : fini le gaspillage. Nos solutions permettent ainsi d’imprimer jusqu’à 800 m² avec un litre de produit.
L’avenir de l’électronique sera propre, léger, flexible et connecté.
Corinne Versini, fondatrice de Genes’Ink, veut repousser les limites actuelles de l’électronique : « les objets numériques ont envahi notre quotidien, et les fabricants de terminaux sont presque aujourd’hui aux commandes du design de nos existences. Le fonctionnel s’impose, souvent contre le beau. Le coût, les contraintes de production et le manque d’imagination sont en train de standardiser notre relation à la technique, et de nous soumettre à elle. Or la technologie n’a de sens que par le service qu’elle nous rend. Elle est essentielle, mais secondaire. Elle doit se faire discrète, souple, adaptée à la réalité humaine. Aucun de nos organes ou de nos membres n’est carré ou en ligne droite. C’est à la technologie d’épouser nos courbes, pas à nous de nous soumettre à ses volumes ! »